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TOP 500 BARS : LE CLASSEMENT RÉFÉRENT DANS LE MONDE DU BAR

Cérémonie de remise des prix du TOP 500 BARS au Lutetia (Paris)

Le 6 novembre dernier, le Top 500 Bars organisait sa première cérémonie à Paris. Le sujet de la soirée : annoncer les 100 bars les plus influents au monde. Un événement qui a attiré la planète cocktail, de l’Asie à l’Amérique latine. En 2023, son fondateur, Anthony Poncier enclenche la vitesse supérieure pour imposer son classement digital dans l’univers du bar.

56 pays, 127 villes, 5 localités françaises : tel est le dernier bilan du Top 500 Bars, un classement créé en 2019 que suivent les barmen internationaux et les amoureux des cocktails, aux côtés des incontournables The World’s 50 Best Bars et Tales of The Cocktail. Derrière ce référent se cachent une tête bien faite et un vrai passionné : c’est Anthony Poncier.

Il y a déjà 15 ans que cet ancien consultant en management et marketing s’est plongé dans l’univers convivial des mixed drinks à travers ses multiples périples dans le monde.

« Pendant mes soirées solitaires à l’étranger, je fréquentais les bars à cocktails. J’y passais toujours un bon moment et au fil de mes visites j’ai créé des liens », raconte cet expert en digital qui rencontre sur son chemin l’Australienne Mel Harvey, piquée par le même virus. Pour remercier la communauté du bar de son accueil, le couple monte, en 2014, 2 supports digitaux : le blog « le Cocktail Connoisseur », consacré à des interviews de barmen du monde entier ; et le compte Instagram éponyme, présentant uniquement des photos de cocktails vus de dessus de différents établissements.

La création d’un classement sur Big Data mettant en avant les bars à leur juste valeur

En 2019, Anthony Poncier met fin à ses activités de consultant avec l’amour du cocktail qui coule toujours dans ses veines. Au vu du succès de son blog et de son Instagram, le Parisien globe-trotter décide de s’impliquer à 100% dans la stratosphère de la mixologie à travers un nouveau concept : un classement de 500 bars totalement neutre, en exploitant une base de données de plusieurs milliers d’établissements provenant de sources internet dans plus de 20 langues.

« Les barmen me faisaient la réflexion que figuraient toujours les mêmes bars dans les classements. Avec Top 500 Bars, nous fonctionnons sur 3 gros piliers : ce que pense l’industrie, le point de vue des influenceurs et journalistes, et les avis de la clientèle », explique le féru de mixologie qui a bien huilé son outil digital. Le résultat de l’année est révélé dès le mois de juillet, par tranches.


Une première cérémonie du Top 500 synonyme de reconnaissance

Pour marquer la fin de 2 années d’une situation douloureuse pour l’industrie, Anthony Poncier a organisé le 6 novembre la première soirée du Top 500 au luxueux bar Joséphine de l’hôtel 5 étoiles Lutetia. Plus de 200 invités ont répondu à l’appel.

« Le but était d’annoncer les 100 bars les plus influents du monde. Nous avons trouvé des partenariats pour financer la soirée. Des barmen venus du monde entier se sont déplacés par eux-mêmes, preuve que le Top 500 a une vraie reconnaissance », commente fièrement l’organisateur qui a révélé en direct les 3 premiers du classement : Paradiso à Barcelone, Connaught Bar à Londres, et Jigger & Pony à Singapour. Un podium fidèle à ceux des prestigieux The World’s 50 Best Bars et Tales of The Cocktail. 


Une nouvelle étape en 2023

En 2023, Anthony Poncier met les bouchées doubles pour faire vivre le Top 500 Bars. L’objectif : la recherche de partenaires pour la cérémonie et l’application créée courant de l’année 2022.

« On demande un ticket d’entrée pour les spiritueux et dès juillet, on va proposer des partenariats pendant les annonces du classement. Pour valoriser la scène française, la cérémonie restera à Paris Concernant l’application, on va créer une grille tarifaire pour les bars qui souhaitent être mis en lumière. On essaie de faire des choses avec du sens, pour les marques comme pour les barmen », expose le créateur du Top 500 Bars.

Avis aux intéressés !

Écrit par Laurence Marot

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