En 2012, Laurent Cicurel, Cyril Lalloum, Romain Thieffry et Simon Thillou ouvrent la Fine Mousse, le premier bar à Paris célébrant la bière artisanale. Parallèlement, ils inaugurent une structure de distribution baptisée La Compagnie des Boissons vivantes.
8 ans après, la société poursuit sa mission d’évangélisation en ciblant bars, restaurants et cavistes, essentiellement sur l’Île-de-France, entourée d’une équipe de 7 personnes. « Nous avons eu la chance que notre commercial connaisse bien le monde de la restauration », explique Cyril Lalloum. Cela nous a permis de nous diriger et de développer rapidement ce créneau. Mais depuis 2012, le marché a beaucoup évolué. Au début, nous parlions avec des clients passionnés de bières artisanales. Aujourd’hui, nous parlons aussi avec des gens qui veulent faire du business.“
Nos critères de sélection : une production sans défaut et avec une régularité, le respect des styles, une priorité au goût, une capacité de développement sur le marché français. »
Cyril Lalloum (La Compagnie des Boissons vivantes, Paris)
Flanqué d’un bon réseau et d’une réputation solide, le quatuor s’est constitué un portefeuille bien garni d’une vingtaine de brasseries (à 80% françaises), répondant à une exigence de qualité et aussi du marché. « En 2016, nous avons choisi de nous concentrer sur des brasseries artisanales à gros volumes comme Volcelest, Brasserie Saint-Germain, Brasserie du Grand Paris avec lesquelles nous entretenons de vrais partenariats et non des brasseries pour geeks.
La maison est également très courtisée pour ses brasseries étrangères comme les célèbres belges Cantillon et De Ranke, l’anglaise The Kernel, l’irlandaise The White Hag ou la norvégienne Lervig.