13 bars, 15 barmen, 15 réflexions sur l’eau-de-vie de cidre, 24 cocktails, voici le sommaire du recueil « Calvados Cocktails Inspiration » imaginé par la maison Christian Drouin. Une innovante mise en lumière du spiritueux normand dans le monde frétillant de la mixologie de Paname.
Pas de doute. L’année 2019 démarre plutôt bien pour les Calvados Christian Drouin. Début janvier, la maison du Pays d’Auge était auréolée du prix du spiritueux de l’année par la Revue du Vins de France. Début février, le producteur crée un tonnerre d’applaudissements avec le lancement de son beau livre.
Guillaume Drouin
« Nous avons pour ambition de montrer l’évolution du calvados dans le monde du bar à cocktails à Paris et l’affection des barmen pour ce spiritueux.”
Conclusion à la fin de la lecture : les têtes pensantes du cocktail sont raides dingues du calvados et de ces millésimes, de la blanche, du gin et du pommeau de la maison Christian Drouin. « J’ai été très ému en lisant cette série d’interviews des 15 barmen sélectionnés. J’ai découvert certaines réflexions inédites sur le calvados comme cet intérêt pour son côté versatile qui permet d’approcher ce spiritueux de différentes façons en cocktail. Pour la partie visuelle de ce recueil, nous avons tenu à mettre en scène les pommes avec les barmen. Quant aux recettes, elles n’ont pas vocation à être simples et sont surtout destinées aux professionnels. Le brief était de se faire plaisir » poursuit l’expert.
Bref, on passe un excellent moment à découvrir Clément Emery du Shangri-La se battre avec trois pommes dans son verre à mélange, Cristina Hernandez du Candelaria travailler aussi bien le mezcal que le calvados, Thibault Mequignon du Danico faire une déclaration d’amour pour le gin Christian Drouin et Matthew Long de L’Experimental Cocktail Club combiner avec audace la Blanche, la cachaça, le sirop d’eucalyptus et le cidre.
« J’ai un grand attachement à la Maison Christian Drouin car cette dernière sait allier l’innovation et le traditionnel en explorant la pomme sous toutes ses facettes… »
Clément Emery – Shangri-La